Articles Tagués ‘LOIS PERVERTIES POUR LES MOTIFS BAS’

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Bien évidemment, quand on parle de toutes ces entités, qui
– dans les dimensions du monde aux vibrations très basses –
oeuvrent pour anéantir pas seulement The Human Might,
mais d’abord, la conscience, chez l’Humain, de son existence,
on ne peut pas de ne pas mentionner des entités telles que le « gouvernement »,
avec toute sa machinerie spécialisée qui – même si cela se révèle ridicule –
ose de « distribuer » et « administrer » les choses tellement incroyables à « administrer »
comme (sic… !) The Human Rights.
Voilà pourquoi, dans le texte qui traite à la base des entités terrestres dont, on dirait, que la « mission » est de saboter le pouvoir intérieur de l’Humain en utilisant pour cela – bien sûr toujours accompagnées par les manipulations psychologiques des individus et des masses – toutes les substances chimiques que l’on peut s’imaginer, cette entité, gouvernementale, est présentée sans qu’on puisse l’oublier.
Le programme mis en fonctionnement par le gouvernement – et qui, de sa part, se base comme tous les programmes qui décident du fonctionnement de ce que l’on nomme la « réalité » dans les dimensions énergétiquement basses de l’univers, sur la DIVISION – est suivant:
la partie de l’humanité « sélectionnée » a avoir de la « chance » de faire celle « ayant droit » de vivre sur un territoire, est opposée à celle qui ne va pas « posséder » du dit « droit »; en simultané, ainsi cette deuxième, que la première partie de l’humanité devraient tenir un silence concernant cette règle de la division qui – au lieu de la règle du respect des droits fondamentaux auquel s’efforce de faire croire les naïfs le « gouvernement » – est la règle fondamentale.
…Et qu’est ce qu’il arrive, si de sa part une personne – visiblement « pas cadrée », visiblement en incapacité d’oublier la liberté originelle de l’Humain-Dieu, visiblement ne pas éligible à cette soumission, subie et acceptée par les humains « en général », au coupage du lien avec son Âme – révèle, tout à coup, son existence, peut-être sur le territoire de La Planète pas prévu par les entités parasitaires affamées à gérer et à introduire leur « ordre » dans les couches basses de l’univers;
qu’est qu’il arrive: si la personne telle ne s’y tienne pas, si elle ne se soumette pas à ce « coutume » selon lequel, bien qu’elle devrait exister, elle devrait aussi permettre, en même temps, que les entités parasitaires dont on parle, sucent son énergie vitale, cette énergie qui lui appartient et qui appartient à l’Humain Libre, et qu’elles la sucent au prix le plus bas possible, pendant que l’Humain lui-même, durant tout ce procédé, devrait rester en calme et en un passif accord… ?
Est ce que l’intérêt, que possèdent les organismes parasitaires comme ceux qui font le sujet de ce texte, d’amener l’Être Humain à l’état de l’abrutissement et de l’étourdissement, à l’état de l’incapacité totale – ou au moins partielle – à agir en indépendance, à prendre quelconque décision dont les effets seraient valides, et – en conséquence de cela – au niveau énergétique bas, très abaissé vu son niveau originel, devient en ce moment plus clair…?

 

CHAPITRE DU LIVRE
« UNE LILITH. HISTOIRE D’UN MEURTRE LÉGITIME »
(RELATION DES “FAITS RÉELS”)********

 

Le « médecin » dans l’hôpital qui se trouve dans un bâtiment parisien gris et lourdâtre
comme la conscience humaine sait apparemment très bien tout ce qui est le meilleur pour une personne passée par l’enfer.
« L’enfer » : cela vous arrive en qualité d’une “expérience” sans vous rater si vous avez vous trouvé dans un “dispositif” dans lequel il est prévu que vous « n’auriez-pas-droit »-aux-certains-droits que les mêmes serviteurs de la machine conçue pour sucer l’énergie humaine qui osent les distribuer nomment « humains ».
(…)
La perversité… ?
Elle ne pouvait pas empêcher qu’elle la touche.
E L L E A ÉTÉ SÉLECTIONNÉE POUR NE PAS AVOIR DES « DROITS »
À VIVRE.
E L L E  N’ E N  A  P A S.
Dans tous les cas, la porte du grand bâtiment gris et lourdâtre comme la conscience humaine est la seule qui s’ouvre devant chaque Lilith ; sans demander si dans ses papiers on trouve la mention : « une Étrangère », « une âme qui dispose de la carte de séjour » ou si on y trouve son absence.
Ici, cela n’importe.
Ici, enfin personne ne te demande de quelconque de ces expressions révélatrices de la social mesquinerie.
Mais ici – comme dans la dimension du monde conçue par les entités parasitaires tout est organisé en sorte que l’humain paie une liberté par l’autre – ils savent bien sur tout ce qui est le meilleur pour toi… !
Ici, même si on te demande ton « accord » tout à l’entrée, et que tu peux « signer » ou pas (et si tu ne signes pas, revienne là où la machine gouvernementale, conçue really astucieusement dans ce but, continuera obstinément à te pousser dans les bras des salauds seulement « pour faire l’impression » armés dans les appareils photographiques dont les dimensions remplacent celles de leurs talents), cela – comme toute autre chose – ne sert que pour faire l’apparence.

Lilith regarde son visage dans le miroir.
Elle a s u r v é c u e, ça aussi – et oui, de ça aussi, elle était plus forte… !
Peut-elle en être fière, désormais avec l’âme comme d’acier et dans une armure que personne ne peut détruire, l’âme ferronnée, pour toujours puissante et blindée par les expériences de ce à quoi elle a résisté, ou ne pourra-t-elle que vivre désormais comme amère, remplie jusqu’aux bords de la haine et hostile, une ennemie de tout et de tous ceux qu’elle verra ensuite sur son chemin, dans les rues par lesquelles elle passera en avenir, le cœur plein de la revulsion et de la hate… ?


***

Elle devine que jusqu’à la fin de sa vie elle n’oubliera pas de ce ressenti : comme si être volée de toutes ses forces, de toute la conscience et toute la notion du temps et de l’espace – et pourtant, quant à la conscience, il faut dire que visiblement il ne s’y agissait pas totalement de toute, puisqu’il lui en a suffit pour enregistrer dans son souvenir un effroi et un étranglement par le manque atroce d’air, après lesquels elle se rappelle aussi être tombée…
Visiblement, elle a eu besoin d’un calmant… !
Calmeeeeeez-laaaaaaa… !
Calmeeeeeez-la, vite… !

L’intoxication – ou, comme on pourrait le dire également bien – le processus de l’abrutissement, de l’assombrissement volontaire de l’esprit de l’autre et de la mise en destruction des connexions neuronales de son cerveau – commence dès la soirée.
Suite du fait que les soldats de l’entité qui fait partie du grand organisme parasitaire se nourrissant de l’énergie humaine ont conclu que voir dans leurs espaces quelqu’un vivant n’est pas la chose normale, et suite du fait que – dans ce centre de l’intoxication chimique des êtres humains qui s’accordent avec leur propre mise à la mort totale ou partielle – voir les vivants leur est effectivement une chose rare, ils réagissent comme réagit chaque automate dans le cas où, sur le terrain bien battu et égalisé, quelque chose – voire quelqu’un – bouge trop, dépasse ce à quoi le soldat a été habitué comme à la norme restreinte, ou – encore pire – décolle.
– Vous êtes trop joyeuse, trop vive… !
– Excitée… !
– Trop vivante… !
– Nous trouvons cela pas normal… !
Qu’est qu’ils disent encore… ?
…Quelles explications ils sortent, de cette mise à la presque-mort qui a suivie, et qui ne s’était pas conclue en se nommant « la mort » sans « presque » seulement parce que le corps de LILITH s’était avéré plus résistant que les tentatives des human-automates, ces servants de l’entité parasitaire qui – la force du poison concentré dans une petite fiole – dans l’éclair de quelques courtes secondes l’ont jetée à terre (sans doute les mêmes human-automates en diraient aussi que son corps résistait « trop »)… ?
« Trop vivante »… ?
Visiblement, être vivante est un crime dans ce pays étrange, où après les années des tortures, des perversités et de l’inimaginable organisé par un gouvernement se disant en même temps civilisé, tout sous les panneaux publicitaires avec les lettres criardes qui crient des « Human Rights », elle RESPIRE pourtant. Elle respire pendant ce court moment : sans deviner encore de l’empoisonnement, de cette intoxication, qui va commencer dans quelques jours. Pour l’instant, elle respire parce qu’elle sait qu’elle a laissé derrière elle l’horreur vécue : elle se trouve maintenant parmi les gens, et pas parmi les ennemis, parmi les salauds et parmi les brutes, elle sent qu’elle RESPIRE parmi ceux qui enfin ne peuvent attendre, exiger, vouloir ni obtenir rien d’elle – ni de son âme ni de son corps – elle se sent enfin pas exposée aux perversités des regards sales, aux touchers visqueux, soi-disant « par inattention », qui n’engendrent en elle que la nausée, la haine et l’envie de vomir tout de suite, elle respire sans savoir encore que la machine conçue par les plus grands asservis du parasite énergo-informationnel…
…ne la laissera pas respirer pendant longtemps.
Voilà ce qu’on vit quand un gouvernement – en sachant parfaitement ce qu’il fait, et en suivant son destin, puisque telle est son rôle, celle de l’automaton********* – joue avec vos Droits de l’Humaine et de l’Être Vivante.
…Encore un court moment, maintenant, avant que tout va recommencer.
Être entourée par les gens.
Pas par les CHIENS avec la bave coulant de leurs GUEULES, pas par les SALAUDS qui voudraient
l’a c h e t e r, pas par les hyènes qu’elle n’aurait pas d’envie de regarder ni en peinture… !
Ne pas être censée à se défendre ni à attaquer, ne pas être poussée à la guerre, ne pas, toujours de nouveau et de nouveau, se trouver sur le champ de la bataille… !
Et eux, ils lui reprochent maintenant : qu’elle a envie de rire et de vivre.
– « Ce n’est pas normal, chez n o u s… ! Chez nous, on meurt lentement,
on avale pour améliorer l’efficacité du processus,
et on reste tranquille… ! »

***

– Je ne veux pas de  V O T R E  crap…! – elle rugit.
– Ce dont j’ai besoin, c’est d’être traitée comme une Humaine,
comme le sont les autres, ne vous comprenez pas… ?!
…Refuser les Droits de l’Humaine, Droits qu’ils nomment « Fondamentaux » : les « prendre », les « donner », puis les « reprendre » et ainsi jouer sans cesse, en administrant – quand enfin l’occasion organisée par cela se présente – l’empoisonnement chimique à la personne qui subit ce traitement, est sans doute une perversité parmi les plus grandes qui existe dans ce qu’on nomme le « système » conçu par l’homme au cerveau handicapé et complètement déconnecté de son âme.
L’infirmière-automate dans la blouse blanche ne la regarde pas.
L’infirmière-automate dans la blouse blanche sort, et il entre une autre infirmière-automate dans la blouse blanche, celle-là regarde LILITH comme on regarde quelque chose dont l’état désiré final devrait être muet : un individu qu’on rêve sans voix ; les paroles des telles créatures vivantes (hélas…!) n’existent pas, leur volonté ne devrait exister non plus, leurs gestes ne doivent pas être visibles et considérés pour ce qui compte.
– Bois…!
– Bois…! Bois…! Bois… !
– Boooooooiiiiiis…!
– Ça te fera du bieeeeen, tu vas voir…!
… – Bois cela toi-même, énergumène hébétée, complètement bornée, limitée, au cerveau à ce point lavé qu’il n’y est resté même un ombre de ton propre ressenti ni de ta propre pensée… ! – LILITH lui répondrait quelques années plus tard ; mais quelques années plus tard, elle ne se trouverait plus dans ce lieu infernal.
– Je ne veux pas… ! – elle crie. – Combien des fois dois-je vous répéter qu’après avaler cela, JE NE PEUX PLUS RESPIRER… ?!
– Boiiiiis… !
– …MÊME HAPPER D’UN SEUL SOUFFLE…!
L’énergumène en blouse blanche appartient pourtant – comme dit, et comme apparemment tous « employés » ici – à l’arme des automates.
– Boiiiiiiiiiiiis… ! – elle n’est pas placée ici pour comprendre les mots, elle n’y est placée même pas pour les entendre.
Elle est placée ici pour exécuter la tâche qu’exécuter elle a été programmée par ceux qui se trouvent plus haut qu’elle dans la structure pyramidale conçue par le grand organisme dont le but est la succion de l’énergie humaine.
– Bois… ! Sinon, on va utiliser la force physique… !

***

Une seconde après l’administration forcé de l’empoisonnement,
LILITH sent que ses poumons ne fonctionnent plus.
Leur activité – le mouvement pendant toute sa vie, et jusqu’à là, mesuré, naturel et stable – s’arrête.
En perdant la conscience, elle fait tout pour saisir, pour attraper l’air : mais celui-là s’enfuit, tout à coup c’est comme si l’air n’existait même plus, tout à coup c’est comme si elle se trouvait étranglée pendant que son organe respiratoire ne peut plus traiter de ce qui – jusqu’à là – lui servait comme l’essence.
Après quelques courtes minutes elle tombe sur le sol.
Elle n’arrive effectivement plus à respirer, sa gorge n’accepte plus d’air, puisqu’il n’y a plus d’air, puisque l’air est comme inexistant ; elle saisit l’oxygène comme le ferait un poisson qu’on arrache de l’eau : mais il n’y a pas d’oxygène, l’oxygène n’existe plus – alors elle avale ce qui n’existe plus, mais qui encore il y a quelques instants – elle le sait… ! – existait. Seulement ce n’est plus pour elle ; a elle, ils ont coupé l’accès même à cette source de vie, essentielle.
…Ce quelque chose qu’elle avale, et qui n’est plus l’air, ce quelque chose qui n’est plus qu’un vide, ne lui suffit pas pour ne pas s’étrangler.
Elle sent que toutes les forces…
Elle sent qu’elle n’en a plus.
Elle sait – et eux, ils le savent bien aussi – que c’est grâce à sa force, qu’elle vivait.

 

***


Elle se trouve entre « ici » et un espace où la vie n’existe plus.
C’est un vestibule de la mort.
– La force. MA force. Où elle se trouve, où elle est partie… ? J’en avais autant, et autant j’en ai eu besoin… ! – si elle pouvait encore penser, voilà ce qui tourbillonnerait********** dans sa conscience. – Nulle part en ce monde, personne n’est arrivée à me l’enlever, à me la voler, a me la prendre : mais maintenant… ? Où elle est… ?! Où elle est : et comment vous êtes arrivés, à me la cambrioler, et comment est ce possible que je n’en ai plus, plus rien, après avoir bu votre poison, celui qui me serre maintenant ma gorge…?! 
– Boooooois… !
– J’en avais pourtant encore autant… ! J’en avais besoin : pour arriver à vivre tout ce que j’ai vécu déjà et ce qui m’attendait encore, chez vous, dans le pays des Déclarations pompeuses, risibles et fausses que vous-mêmes mettez en ridicule ; j’en avais besoin : pour vaincre, pour ne pas me laisser abattre… !
…J’en avais autant des forces.
…Vous n’auriez jamais pu me vaincre.
…Vous n’arriveriez jamais me mettre à la mort.
Elle ne voit plus que le plafond blanc au-dessus de sa tête.
Elle s’en va.
 

***

…Les automatons crient, ahuris.
Les cris la font revenir.
– Elle n’est plus là, au secours, « docteur »… !
Donc, de nouveau…
– …« Rendez-moi seulement, ma force… ! Rendez-la moi, tout de suite… !
Rendez-la, à moi. J’en ai eu tellement, avant que vous avez trouvé cette astuce horrible et rusée de me la prendre ; j’en ai eu incomparablement plus que vous. Cette force, que j’avais, vous n’avez jamais vu dans votre rêve le plus audacieux… !
Comment avez-vous osé de me l’enlever… ?
…Et comment vais-je vivre maintenant : parmi vous… ?!
…J’avais tellement besoin, besoin : de ma force… !
Cette force, que vous ne pourriez nier jamais »…
Mais les automatons qui savent mieux de quoi tu as besoin,
savent aussi bien te tuer si on les en programme.
– Ses veines ne se voient plus, docteur, elles ne se voient plus… !

 

***

Les automatons dans les blouses blanches, qui courent dans la désorientation et dans le désordre, leurs cris qui transpercent l’air qui n’existe toujours point, les rebords des blouses blanches et les pans des blouses blanches qui volent au-dessus de LILITH comme les ailes portant la lâcheté de ceux qui elles habillent, enfin les rebords d’une blouse blanche qui se fixent au-dessus de la tête de Lilith dont le corps reste toujours sur le sol après s’y être écroulé après l’empoisonnement… ensuite, la couleur blanche et les rebords de la blouse du médecin en fuite, les rebords de la blouse blanche se chapardant maintenant, éloignés, en panique, les rebords de la blouse blanche, les rebords de la blouse blanche, les rebords de la blouse blanche, qui restent désormais gravés et enregistrés dans sa mémoire comme les symboles de yellowness, de la dérobade infâme et possiblement discrète après les actes commis, tellement caractéristique pour toutes les institutions gouvernementales de ce pays, de la fugue et de l’irresponsabilité infantile…
Et un autre souvenir, qui lui revient aussi comme si de derrière un brouillard.
Un ressenti soudain comme si son âme s’envolait en direction exactement opposée que celle vers laquelle volent les bouts de la blouse blanche du personnage du « médecin » en dérobade.
– C’était… comme si je m’observais de l’extérieur – elle se rappellera plus tard.
Médecin du crap, après lui avoir appliqué le crap, court maintenant dans tous les sens comme si dans la poursuite de son effroi.
– Injection… ! – il sort de sa bouche quelque chose qui devrait signifier sans doute cela, ce qu’on peut conclure de la réaction d’une autre blouse blanche. – Injectez… ! Et puis, goutte – à – goutte… !
– Pas de veines… ! On ne les trouve plus… !
– Injectez… !
– Les veines ne réapparaissent plus… !

  

***

Ils ne peuvent pas, ils ne peuvent plus rien trouver, et ce n’est ni étrange ni étonnant : tous les Chemins Bleus du Sang visibles jusqu’au ce jour sur le corps de la future Guerrière sont disparus, le crap de poison fait horriblement bien son boulot, et l’aiguille qui s’incruste dans la chair de Lilith s’enfonce seulement dans sa peau qui reste inerte.
Cela la fait revenir avant que de nouveau elle reparte, elle sent le mal indescriptible : à la torture de ne pas pouvoir attraper de l’air, de s’étrangler, s’ajoute encore ce sadisme de l’aiguille qui lui mord le bras, qui la mord sans cesse.
– Arrêtez… ! – elle hurle encore, elle hurle de toutes ses forces, au moins elle a l’impression de le faire, mais les forces ne sont plus là et de ses poumons ne sort même pas un chuchotement.
– Arrêtez… ! Arrêteeeeez… ! Arrêtez, les experts de la perversité… ! 

 

***
 

– Celle-là sera la dernière – bredouille la tête appartenant à une silhouette crispée
d’un infirmier: une autre composante du système des entités parasitaires,
celui-là pâle comme la couleur sale de son vêtement.
– C’est la dernière fois, je dois essayer encore… !
Dans un éclair de la conscience momentanée, elle se souvient de ses yeux terrorisés.
– Assez…! 
Chaque nouvel attaque de l’infirmier la fait souffrir les affres.
– Vous avez déjà fait tout le mal, tous les dégâts possibles …! – elle a l’impression de crier,
toujours crier avec la voix haute, celle de laquelle ils n’entendent toujours pas.
– Vous avez fait tout ce que vous aviez à faire, laissez-moi au moins maintenant,
laissez-moi de ne plus devoir regarder de vos ombres, horribles…!

…Laissez-moi, salauds… !
L’infirmier la rate une fois encore.
Et donc, une fois encore :
– Celle-là sera la dernière… !
– Arrête, salaud… ! Arrête, sinon, je te mordrai tout ton visage… ! – elle rêve de pouvoir le crier vraiment.
– Je vais enfoncer mes dents dans ton cou : celui de l’humain-robot, de l’automate, et je vais mordre, mordre, mordre, le plus profondément que je pourrai… !
Mais, à cette époque-là, elle n’était pas encore devenue un animal sauvage.
– C’est vraiment la dernière fois, celle-là. Je dois tenter jusqu’où tu es là, ou… J’arriverai.
Elle s’étrangle du mal.
Ensuite, elle s’en va encore.
Il rate : une fois de plus.
Il recommence.
– Salaud… !

 

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******** Le Livre « UNE LILITH. HISTOIRE D’UN MEURTRE LÉGITIME » – si pas compter des rectifications du texte et des fragments complémentaires ajoutés au cours des quelques années après son écriture – était écrit aux années 2008-2009, et parle des faits ayant lieu aux années 2001-2008. Le fragment publié ici parle des événements ayant lieu à Paris, France, en année 2005.
********* Le rôle fondamental des entités parasitaires comme le « gouvernement » (ainsi que comme le système du sabotage du pouvoir humain, nommé « médical ») dans l’œuvre de création de la réalité peut cependant avoir lieu seulement sur certain niveau énergétique de l’univers : au-dessus duquel les entités ici évoquées et décrites dans ce texte perdent leur « status » et n’ont d’aucune influence sur la vie des personnes.
Suite de cette conscience, le texte – même si écrit à l’occasion de la descente de l’auteure aux couches infernales de l’univers ci-présentées, donc dans les différents dimensions énergétiques – n’a aujourd’hui pas pour le but d’une accusation des entités qui y appartiennent, mais une description d’une machinerie qui y existe : et dont connaître les principes du fonctionnement est la chose importante en vue de la libération de l’humain et son relèvement.
********** (Eng. : ) whirl.