Une fois encore, son corps, son âme, ont été plus forts.
Une fois encore, elle est sortie vivante.
Une fois encore, ni les injections de la toxine, en diverses formes, ni l’empoisonnement administré par toutes les voies, parmi lesquelles orale faisait seulement un exemple, même si le plus important, ni les jeux des diverses entités discreditables, comme entité gouvernementale, avec ses « droits de l’humaine » (après le temps, elle se dit que peut-être tout cela a eu lieu parce qu’elle n’est pas une : elle était envoyée ici sûrement d’un monde différent que celui-là, aux vibrations qu’elle trouve et ressent très basses…), n’ont rien pu.
…Mais l’intoxication continue.
Après le shot dont les conséquences ont été décrites ici, même si « théoriquement » cela a été possible, elle n’est plus en capacité de décider de quitter l’« établissement » dont le « rôle » dans le « système » – cela est aujourd’hui clair – est de mettre les personnes par une ou l’autre raison « dérangeantes » au système des vibrations basses en état de la torpeur, de la paralysie et de l’indolence totale.
Après longtemps, en pensant de cet enfer – qui n’était pourtant seulement « un parmi les nombreux enfers », ou « une chapitre de l’enfer en continu » sur son chemin de la non-humaine au pays des droits seulement pour ceux et celles qui appartiennent à la race*********** – elle se rendra compte que l’on peut dire même, que mettre les personnes en état de la démence est la vocation de ces lieux, qui existent en nombre tellement grand dans l’univers des basses fréquences énergétiques : et qui se nomment les « hôpitaux ».
Ici, plus encore qu’ailleurs, ce qu’on essaie, c’est dompter l’esprit et le corps de l’Humain-Dieu, pour qu’il oublie ainsi ce qui il est que ce d’où il vient vraiment (pas de cette Terre…), et pour qu’il devienne la risée de soi-même ; ici, plus encore qu’ailleurs, ce qu’on tente, c’est de programmer et d’apprendre les personnes ciblées de l’obéissance aux ordres et aux « lois » fixées par les autres, de la soumission, de la dépendance des facteurs extérieurs et de la faiblesse.
Ici, on le fait avec la grande artillerie.
Ce ne sont plus les substances toxiques que l’on « cache » : celles qui sabotent la pensée, pervertissent les besoins du corps, et desquelles la « fonction » est de mettre ce dernier en dépendance, tout cela utilisé par l’industrie nommée « alimentaire » qui distribue ses denrées dans les « grandes surfaces ». Ici, les substances qui rendent l’humain malade – très, très malade, et tout, tout de suite… ! – on utilise sans plus aucune « couverture », sans essayer, comme cela a lieu dans le cas de l’industrie alimentaire, de « faire l’impression que… » ni de faire semblant qu’on « nourrit » pendant que l’on soumet et empoisonne.
Ici, on te force à avaler le poison tout de suite dans sa forme « pure », ne plus dissimulée, ou on te fait un shot directement dans la veine dans le cas si tu n’adhères pas et ne t’accordes pas avec l’abattage prévu.
On n’a plus besoin de faire semblant quand on a à faire avec les êtres vivants qu’on a mis déjà en état des plantes.
***
…Et comment elle arrivera, maintenant, quitter cet établissement,
dans lequel – puisque telle est le rôle de celui-ci – ils arrivent à l’amener à l’état de plante… ?!
Comment pouvait-elle penser : que d’un lieu pareil, elle pourra sortir sans y être détruite… ?
Comment : sans savoir encore avant y entrer, que leur « travail », ici,
c’est de transformer les êtres vivants en épaves seulement théoriquement vivantes… ?
Elle n’est maintenant plus en mesure de décider de rien, comme elle le pouvait avant y entrer : même si ses décisions avant y entrer ont été conditionnées par sa situation de la « non-humaine » (et oui, elle le sait enfin : elle n’est pas une ; ce n’est pas de ce bas monde, qu’elle est venue ici, elle n’appartient pas – il n’y existe aucun doute quant à ça – à cette espèce des êtres énergétiques à l’énergie très basse…), elle possédait néanmoins toutes ses capacités psychiques et physiques pour les prendre.
…Et ce sont exactement ces capacités, que les serviteurs du système dans lequel certains et certaines ne doivent pas avoir des « droits », ont pour la fonction anéantir chez ceux et celles parmi les certain(-e)s dont la présence devient importune.
…Après l’intoxication de chaque matin : qui continue (après l’assassinat qu’ils ont failli de commettre, ils ont mis au point une autre méthode : qui consiste une intoxication par les doses moins concentrées, probablement de l’autre toxine ; celle-là fait que LILITH ne tombe plus à terre, que les dégâts dans son cerveau avancent plus lentement et que l’état de son corps se dégrade moins vite) et après l’empoisonnement du soir, plus rire, plus respirer des pleins poumons, plus vraiment marcher.
Le mur n’est plus un mur : il ne se ressent pas comme la matière, comme avant, comme ressent les choses une humaine normale ; ses doigts n’arrivent plus de sentir de la structure de quoi que ce soit qui l’entoure et que – infructueusement – elle essaie de toucher ; la porte n’est plus une porte, les escaliers… elle n’arrive même plus de les monter sans l’épuisement (et oui : l’air, par ses chemins respiratoires, ne passe presque plus pendant que son cœur de la sportive et de la Guerrière en devenir a été transformé comme si en cœur d’une grave malade tout avant de l’attaque cardiaque ; à chaque pas, à chaque mouvement plus décidé que celui d’un fantôme elle sent qu’encore une seconde et il va éclater… !)
Elle est horrifiée par ce qui se passe avec son corps ; et ce qui se passe est tellement incroyable, tellement « jamais vu », qu’elle n’arrive pas a y croire.
…Tout, absolument tout ce qui l’entoure se trouve maintenant comme si derrière ce même brouillard
derrière lequel elle a vu le monde aux moments de sa mort partielle.
Maintenant, l’étranglement est seulement plus léger ;
mais il ne faut pas être naïf : il continue.
…Et eux, ils continuent aussi.
Ils apprenaient comment le faire pendant les années
qu’ils ont passées dans une académie pour les serviteurs.
***
…Elle a pourtant encore les restes des forces,
et de la conscience que faire s’évaporer de son corps et de son âme
ils n’ont pas été suffisamment vites.
Les serviteurs du système gouvernemental
basé sur les infâmes et ridicules « refus » des « droits » à vivre
aux humain(-e)s ne venant pas de leur race,
ont pu bien essayer,
et même ils ont pu bien la jeter à terre :
ils ne pourront jamais l’abattre.
Ses restes des forces, cette conscience – et, sûrement, l’instinct de survie et l’instinct le plus basique, celui de protéger sa santé soi-même : puisque – soyez en enfin lucides… ! – les « médecins » ne sont pas ici « pour la protéger » chez les humains ; ils y sont pour la rendre boiteuse, pour la rendre clopinant, et enfin pour la détruire – la font informer le serviteur principal dans la blouse blanche de sa décision de quitter cette usine dont l’assignment est de produire les plantes mi-mortes et les éternels disabled.
***
Toujours horrifiée par les comportements incroyables de son corps, desquels elle ne contrôle plus (ce qui est le but du bourrage par les drogues livrées aux serviteurs du gouvernement et des concernes pharmaceutiques, nommés « les médecins », par ces concernes eux-mêmes), elle va sortir de cette usine des morts-vivants, de ce lieu de la chasse de l’âme et du corps de l’homme de tout ce qu’il possède en lui et qui pourrait menacer aux organismes bas énergétiquement, donc parasitaires, suite du risque qu’il pourrait espérer de devenir libre, elle va sortir…
…le serviteur dans la blouse blanche tient fortement qu’elle achète, dès qu’elle se trouvera en liberté, les boîtes supplémentaires de la drogue analogue à celle qui, durant tout ce temps dernier, la rendait malade : celle-là, comme toutes, est sponsorisée par… le gouvernement, elle est bien remboursée, il lui fait une ordonnance.
LILITH exprime son dégoût : le « médecin », le serviteur de l’industrie, comprend bien que – hélas – cette « cliente »-là possède la conscience absolue de ce où se trouve la source de cet état hallucinant qui, incroyablement, est devenu pendant ces dernières semaines le sien : et qui l’on peut nommer – ce qui serait presque un euphémisme – celui de la déficience physique d’une être humaine jusqu’à là sportive, résistante toujours, et jamais destructible.
Il la rassure donc, cauteleusement, que maintenant, il s’agira d’une substance différente de la (les… !) précédente(-s) : mais, que le monde dehors, va sembler à présent, à elle, LILITH – cela n’est pas éligible, selon lui, au moindre doute – trop bizarre, et donc, que – pour pouvoir y vivre… la nouvelle drogue, la nouvelle substance toxique remboursée par le gouvernement et produite par les pharmaceutes************ qui en vivent, en leur payant à l’occasion – à eux, les « médecins » – pour l’intermédiaire…
…est nécessaire.
…Hà : cela n’est éligible, non plus, au moindre doute, que si le monde peut sembler bizarre
aux personnes intoxiquées, c’est, justement, suite de l’intoxication par les drogues,
et cela n’est éligible, non plus, au doute le moindre, que l’intoxication par les drogues est exactement ce qui engendre cet état de l’individu : dans lequel, mis en dépendance des substances que l’on leur injecte ou fait ingérer, ils perçoit le monde « bizarre »… !
***
…Elle veut s’en libérer de ce lieu tout de suite.
Elle veut le quitter sans attendre.
Elle ne supportera plus, ni d’une seule journée, de cette – jamais connue avant – faiblesse indicible, pas naturelle, inimaginable, qui, au paradoxe pour la future Guerrière, est devenue suite de « l ‘intervention » de ceux qu’elle ne pourra nommer, après s’en rendre compte, les ennemis de sa liberté, donc SES ennemis tout court, ainsi que les ennemis de chaque humain libre,
le premier trait caractéristique de son corps.
Vu l’insistance du serviteur de l’industrie pharmaceutique, celui-là toujours dans sa blouse dont la blancheur éveille les doutes, et qui – n’ayant d’aucun droit à lui exprimer quelconque condition, encore moins une exigence – fait tout pour la faire croire qu’il dispose de ce droit et obtient d’elle la promesse qu’elle ne va pas arrêter de sa propre intoxication,
elle sort de l’usine aux plantes en acceptant d’emporter avec elle la dernière ordonnance à la substance mortifère.
…En fait, le « médecin » lui fait promettre qu’elle ingérera la substance qui la détruit, qu’elle la prendra, qu’elle l’acceptera dans son corps même après sa sortie de l’usine aux plantes: il n’a pas droit à lui poser quelconques « conditions » dont la non-prise en compte par LILITH pourrait l’empêcher de quitter le lieu, ou d’obstruer sa sortie : mais il compte qu’une fois la chose promise, dans ce pays où tous, et le gouvernement le premier, crachent inglorieusement sur la parole, elle, LILITH, à l’opposé à eux tous et toutes, se sentira liée par la promesse.
Pour se rassurer pourtant qu’elle ne tentera pas à se libérer de la substance toxique qui la contrôle, qui – en accompagnant les jeux gouvernementaux – se met sur son chemin à l’indépendance et qui sabote sa force (l’indépendance : un véritable trésor, qui à chaque personne qui voit ses droits politiques refusés ou « annulés » est impossibilisée d’abord que de l’extérieur ; l’injection de la drogue dans l’organisme de la personne fait pourtant, ensuite, que l’attaque à cette indépendance s’effectue également de son propre intérieur… on peut dire que l’organisation d’un système national dans lequel les éléments étrangers ne pas concernés par les ordres et par les « règles » de la sournoisie, et donc – volontairement ou pas – semant le ferment et the turbulence, sont condamnées à la garde – à – vue ou à la captivité, est total(-itair)e…), il lui menace que la « désobéissance » à cette prescription peut avoir les conséquences dans la forme de sa propre réaction suicidaire.
Le paradoxe et le ridicule de ces paroles – à part de ce qui se lie avec l’ambiguïté de la situation politique de LILITH qui est un assassinat légalisé en soi, et à part du lien avec le fait que les mêmes serviteurs des entités parasitaires qui essaient de l’effrayer par son propre futur suicide l’ont tué presque il y a à peine quelques jours – sont sans commentaire : c’est l’action de la toxine sur le corps de LILITH et sa conséquence, qui – si son esprit et son âme étaient moins forts et moins résistants à ce par quoi on essayait de les atteindre – auraient la force, indubitablement, de l’amener à un saut désespéré d’une première fenêtre qu’elle verrait sur son chemin.
***
…Après trois jours de l’empoisonnement continu, déjà hors des murs de l’usine aux plantes – car l’état de l’étourdissement et de l’assombrissement de LILITH après les semaines de son intoxication par le poison forcé par les « médecins »************* asservis aux pharmaceutes est à ce point incroyablement extrême qu’elle n’a plus de ce réflexe, qui autrement serait normal et naturel : de DÉCIDER – à son propre nom, pour elle – de changer quoi que ce soit, et donc d’arrêter ce qui a été « fixé » et mis en fonction par une entité extérieure, en retrouvant par cela le lien avec elle-même************** : elle réalise donc l’ordonnance – après quoi elle s’aperçoit que l’état de son corps se détériore, plus encore et plus… mais « plus » : est-ce que l’on peut encore l’imaginer… ?! – et que la vie, suite des jeux gouvernementaux avec ses droits fondamentaux et suite de leurs « refus » ridiculesques, n’étant déjà pas facilement vivable, n’est maintenant, non plus, même pas possible.
Ce n’est pas aujourd’hui,
ce n’est pas ici pour la fois première
qu’elle apprend que là où on veut te détruire,
là où on veut te rendre complètement coupé ou inconscient
de ta propre puissance,
là où on veut t’anéantir,
on commence…
…par ton corps.
En fait, son corps, suite de la consommation des drogues desquelles on a tenté de la rendre dépendante et qu’elle a promis au serviteur de l’industrie pharmaceutique, ne fonctionne plus, il n’exécute plus de ses fonctions naturelles, en la surprenant en revanche – ce qui la fait à chaque fois sentir l’effroi et l’horreur – par les comportements le moins attendus, imaginables et burlesques.
En même temps, il continue, le jour après jour, de se transformer en épave.
***
…Après quelques jours d’ingérer – naïvement… ou mieux, et plus vrai : inconsciemment, puisqu’elle se trouve toujours dans l’état où sa conscience est estropiée et sa perception de la réalité nébulée – la drogue lui prescrite par le « médecin » visiblement troublé par le fait qu’elle pourrait arriver trop vite à la lucidité, et de se rendre compte trop vite, et trop clairement, de ce qu’elle venait de survivre,
LILITH – ce dont les entités dont le but est d’assombrir l’esprit humain ne peuvent pas influencer – agit à l’encontre et en non-accord avec toute la mécanique que prévoit, pour les personnes intoxiquées, le système basé sur la mise en esclavage et en asservissement des humains dont la conception et la mise réussit, depuis les longues décennies, grâce… aux substances toxiques.
On ne peut pas de l’expliquer autrement que par ces clairs propos, et cette conscience : que ce qui la fait agir, et de décider tout à coup, malgré son état qui – théoriquement – ne la qualifiait plus à pouvoir prendre la moindre décision, était une chose qui ne peut pas être atteinte, ni même effleurée, par quelconque tentative humaine de la prise du pouvoir sur l’âme libre.
Ce qui l’a fait agir et décider – et ce qui la rendait, toujours, inatteignable pour les efforts et les divers attempts de ceux qui se rêvaient d’avoir ou de représenter un pouvoir quelconque sur l’être libre, un pouvoir extérieur – n’était pas l’autre chose que le fait que, différemment que cela semblait d’être le cas de la plupart des individus appartenant à la race humaine qui l’entouraient – la connexion de LILITH avec son propre Âme n’était jamais tronquée, jamais coupée, jamais détruite.
En passant par cette Terre, elle était connectée à elle-même :
où ces mots, « elle-même » signifient la Conscience du « JE »
et de son lien avec l’Univers.
Cette connexion, elle ne permettrait à se reprendre à aucune entité et à personne.
Cela dépasse ce qui peut être contrôlé par l’homme
ainsi que par toutes les entités terrestres qui se veulent de représenter quelconque pouvoir sur l’Âme libre.
…Le troisième jour, au matin, LILITH recrache donc de sa bouche la toxine pas encore passée par sa gorge, jette toute la boîte empoisonneuse avec la drogue en comprimés dans l’orifice de la toilette (avant le faire, dans la notice à l’intérieur qui numérote les effets secondaires de la drogue, elle trouve les points dont la lecture lui fait froid : parmi eux, les difficultés respiratoires, les risques des états « dépressifs » et des troubles sexuelles), et – de sa main qui ne sent plus de la matière comme la matière – arrive pourtant d’appuyer la chasse d’eau.
…La drogue part …pour, en se décomposant maintenant dans la couche de la surface de la Planète, empoisonner La Terre.
Dès lendemain – même si lentement – elle recouvre ses forces : dont elle a tant besoin sur son chemin de l’Étrangère entraînée dans un jeu avec un gouvernement scabreux qui respecte ou pas ses propres « lois », selon ce qui l’arrange, et qui les fixe à la façon également scabreuse.
***
…Elle se rappelle aussi les mots de son cousin – celui-là en instance de devenir, hélas, le « médecin » en Canada et déjà pratiquant à la section de la chirurgie – après qu’il a entendu les noms des drogues desquelles, en France, on s’est servi pour la rendre handicapée, infirmée, ne possédant plus de son libre arbitre et torpide.
Sa première réaction a été la stupéfaction, l’incrédulité,
les yeux grands ouverts et ronds comme les sphères immenses de disbelief.
Voilà sa réaction exprimée par la parole :
– « Il s’agit ici des substances tellement puissantes, aux effets « secondaires » tellement peu admissibles, et dont l’action dans l’organisme humain est tellement violente, qu’elles sont utilisées que dans les cas très graves : comme, par exemple, les cas des pervers sexuels dont on n’a pas d’espoir de maîtriser à aucune autre manière ».
Et aussi :
– « Les doses qu’ils t’ont administrées, LILITH.
…Elles ne seraient pas supportées sans séquelles même par un cheval ».
…
…
…
***
En fait, les « comprimés », les drogues, devraient lui « aider » à subir, tranquillement, les « refus » des Human Rights : Fondamentaux, qui, en jouant comme en chequered pattern, on lui « accorde » et « reprend ». Est ce que, dans le cas pareil, on peut s’en faire de la « dose »… ? Puisque est ce qu’il existe quelconque dose qui peut – dans le cas pareil – être considérée pour trop grande… ?
Si on se rend compte qu’est ce qu’un gouvernement prévoit comme une finalité – qui l’arrange et qui, sans doute, lui plait, et comme le « chemin » des personnes auxquelles les Human Rights sont obstinément refusés ou des personnes avec les droits desquelles on se donne le plaisir de jouer – donc, les exemples : la prostitution dont les soi-disant « autorités » gouvernementales ont tant besoin, l’avilissement des individus, leur asservissement en vue de l’exécution des tâches les plus viles et aparianisantes, ainsi que la vente des corps des humains et des humaines à une des façons qui se comptent parmi moins évidentes et que ceux qui « refusent » et qui jouent avec les droits des personnes prévoient une multiplicité (« femmes et hommes « de ménage » », les orduriers collés comme les polypes aux voitures vertes, les « danseuses » des « clubs » où, si on a le droit à ne pas entrer à leur intérieur cloaquien on n’entre jamais, etc.), on se rend compte aussi que la dose « trop grande », de quelconque spécifique dont le but serait de modifier la conscience de l’humain ou de l’humaine qu’on veut sans liberté et sans volonté, n’existe simplement pas.
***
La situation d’un Humain ou une Humaine que la loi des humains eux-mêmes s’acharne à anéantir possède effectivement en soi – même si seulement jusqu’où on la trouve réelle, existante, “importante” et “valide” – quelque chose d’analogique à celle d’un fou enfermé dans un hôpital psychiatrique.
…
Mais ce n’est pas sur cette situation-là que se concentre ce texte :
sa vocation est de montrer comment,
suite de l’intoxication chimique de l’Humain
par les unités dont la fonction est exactement celle-ci :
de lui prendre son pouvoir,
de le couper de lui-même,
de le rendre impuissant, passif, malléable
et subissant docilement la réalité
que lui imposer apporte à quelqu’un les bénéfices,
on met les êtres vivants,
les personnes,
en état de l’infirmité
ou – avec le temps…
…on les tue.
Et je laisse ici comme peu importante la question
si ces unités sont gouvernementales,
ou si elles appartiennent aux industries
– comme la médicale ou la pharmaceutique –
à la façon directe.
EFFACER LES TRACES
De l’usine aux plantes, elle n’obtient jamais du « dossier » qui comporterait les traces des faits ainsi que les noms des substances toxiques qui ont failli de la tuer, que l’on l’a forcé à ingurgiter, et que l’on a utilisées pour la mettre en état ciblé, celui de l’infirmité.
Lui rendre possible à accéder un tel dossier – même si on avait admis, naïvement, que les faits y auraient été clairement décrits – serait, de la part de(-s) l’entité(-s) qui fait(-nt) exister les usines aux plantes, avouer la tentative du crime qui durait plusieurs semaines : ainsi qu’avouer les milles des crimes commis et réussis. Car qui saurait compter aujourd’hui, combien des êtres humains est arrivé de tuer – lentement ou vite – la grande machine dont le but est, comme de chaque machine systémique, conçue et gérée par les organismes serviteurs, s’assurer l’arrivage de la libre énergie humaine, et de mettre en état de l’inabilité à décider ceux et celles qui – en état conscient – ne permettraient pas qu’un tel parasitage sur leurs corps, leurs esprits et sur leurs vies ait lieu… ?
Après les années de ces faits, elle effectue pourtant
une tentative d’obtenir le dossier infâme.
Suite d’avoir contacté le « médecin » N*************** pour le récupérer,
elle reçoit sa réponse dont le caractéristique principale : qu’elle est mielleuse, elle trouve également hypocrite et – comme tout dans le comportement des individus acceptant le rôle des serviteurs de la machine – lâche, vu qu’elle est écrite par un être humain qui – il y a quelques années, transformé en automate – a donné l’ordre qui l’a fait presque-exterminer.
La dite réponse comporte les mots :
« Je comprends vos interrogations et suis prêt à vous aider à mieux comprendre
ce qui s’est passé à ces moments (…) ».
Les paroles qu’elle lit en ayant toute la conscience de leur outragété ; la « proposition » qu’ils comportent les rend à ce point déplacés et impossibles, que si elle se trouvait encore sous l’influence des drogues lui administrées par le même individu qui prétend, après le temps, qu’il pourrait lui « faire comprendre » ce qui a eu lieu, et lui « faire comprendre » quoi que ce soit : donc les attaques chimiques ainsi que psychologiques à son propre corps, elle penserait qu’elle hallucine.
Pense-t-il qu’il serait en mesure de la faire croire, après sa propre mort pas finalisée, sa mort pas aboutie, et après toutes les dingueries auxquelles son corps a été forcé suite de l’ingestion (« sinon, on va employer la force physique… ! ») des différents genres des toxines, aux explications, qui ne pourraient être qu’également hypocrites que sa lettre… ?…Pense-t-il qu’il serait en mesure de la faire croire, après sa propre mort pas finalisée,
sa mort pas aboutie, aux explications – qui ne pourraient être que les tentatives de la diversion –
et dans lesquelles il s’efforcerait à couvrir l’inadmissible et le scabreux par les termes médicaux que l’on utilise pour impressionner ceux dont la recherche est de suivre l’autorité, quelconque, et même la plus scabreuse, car ils ne savent pas encore qu’il n’y a pas d’autre, nulle part,
que celle qui se trouve en eux-mêmes… ?
…
À cette lettre déplacée, elle répond :
LILITH (de la correspondance
avec « médecin » N. de l’Usine Aux Plantes à Paris
où ont eu lieu les attaques chimiques à son corps
ainsi que la tentative de son assassinat par empoisonnement) :
– « Je crois que personne ne pourrait comprendre mieux que moi-même de ce qui « s’est » passé : car c’était moi qui est tombé sans pouvoir of catch my breath, et c’est moi dont le corps a réagi par les torsions multiples, par l’atonie des muscles et par les réflexes comme dans le « Dracula ».
Mes muscles se comportaient comme s’ils avaient perdu au moins à 85% de la connexion avec le cerveau:
qui restait tonique mais qui n’arrivait pas d’obtenir de la réponse du corps aux signaux envoyés.
(…)
Pourquoi cette médication : criminelle, dont ni mon corps,
ni mon esprit, n’avait de moindre besoin ;
et en plus, comme pour un bataillon… ? »
La question « pourquoi » est, bien sûr, rhétorique.
Ce qui est la chose concrète pourtant, c’est le fait que le « médecin » N.
– ou, comme nous pouvons le nommer également, selon notre discernement, le robot N. –
l’informe de la « marche à suivre » pour accéder au dossier qu’elle souhaite de voir et de récupérer.
Il lui propose d’écrire au service concerné (« cela peut alors se faire par courrier. Vous devez demander à ce qu’il vous soit envoyé à votre adresse et vous devez joindre une copie de votre pièce d’identité »).
Le chemin est donc clair.
Seulement, suite de le prendre…
…elle n’obtient jamais de la réponse différente qu’une lettre de l’usine aux plantes
qui la tient au courant que le dit dossier, qu’elle attend, « sera lui être envoyé bientôt ».
Ce « bientôt » ne s’étant jamais transformé en « maintenant ».
→ → →
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↑ Site dédié à l’Âme Libre et au chemin de l’Humain ↑
*********** La comparaison avec une idéologie connue à tous et qui a laissé dans le monde
les grands monuments historiques que le même monde essaie d’oublier, est ici pas à éviter…
************ Le mot utilisé par la langue française: “pharmaciens” est dans ce texte – volontairement – transformé,
et possède la forme approchée à la forme utilisée dans la langue polonaise: “pharmaceutes”.
************* N’est ce pas eux – les « médecins » du XXI siècle ainsi que des siècles derniers, aujourd’hui supplémentairement asservis aux pharmaceutes : qui –étant les mêmes qui n’hésitent d’attaquer par les épithètes invectiveux les guérisseurs « pas autorisés » par leur propre industrie – devrait porter les noms des charlatans… ?
************** …Cette phrase, en décrivant l’état deLILITH étant la conséquence de certaine – pourtant très courte –
période de l’intoxication (du « traitement » par les drogues), possède dans ce texte l’importance fondamentale.
On a à faire ici avec la description exacte de ce qui se passe avec l’individu suite du « traitement » par les substances qu’on arrive à le faire ingérer, et qui lui sont « prescrites » aux diverses manières par les unités représentant les organismes dont la quête est celle d’arriver à la délocalisation de la conscience du pouvoir de l’humain
que celui-là possède
de son intérieur
aux divers entités extérieures.
Arriver à amener une personne à l’état dans lequel son abasourdissement est tellement immense que – comme un objet mis en fonction –
elle ne tentera pas d’un mouvement ni d’un comportement qui n’était pas précédemment programmé, est un point parmi les plus importants pour les entités y évoquées. Le vécu de LILITH relaté dans ce fragment du livre est extrême : mais cet abasourdissement, que les unités appartenant aux couches énergétiquement basses de l’univers ont obtenu chez elle suite de l’intoxication forcée, on observe chez les individus appartenant à la« société » humaine dans les divers degrés…
*************** Dans les dossiers et les livres polonais de certaine époque parlant des affaires criminelles, les noms des criminels dont on décide de ne pas révéler sont remplacés habituellement par cette lettre : « N ». Le fait que les noms des « médecins » et des autres marchands des drogues qui jouent un rôle dans les événements ici décrits ne sont pas révélés dans le texte vient de l’awareness de l’auteure que les mêmes personnages peuvent être différents en dépendance de ce auquel moment du développement de leur conscience on les regarde. Il est possible donc que les mêmes individus qui, il y a une décennie, agissaient comme les asservis-assassins, peuvent être aujourd’hui les personnes totalement différentes : et même elles-mêmes ne pas adhérer à un système meurtrier duquel elles faisaient partie.
À cette conscience accompagne pourtant également une question :
la transformation telle,
l’avancement dans la conscience dont on parle,
peut-elle concerner aussi ceux qui ont été engloutis par un système des humains-robots,
le système des automates, et donc, ceux dont l’humanité a été sabotée, le lien avec leur âme coupé,
et qui sont devenus les automates eux-mêmes… ?